LE TEMPLE DE MORIKUN: INFINITY BY CORVUS BELLI : "DIRE FOES : DEFIANT TRUTH" FREE-LANCE STRINGER BIANCA CHEN / BIANCA CHEN, JOURNALISTE REPORTER INDÉPENDANTE DU PACK "ENNEMIS INTIMES : UNE VÉRITÉ QUI DÉRANGE" (4H PROJECT 6)

Bonjour mes Chers Lecteurs ^^

La petite série d'articles consacrée au 4H Project touche à son terme car aujourd'hui j'ai le plaisir de vous présenter LA figurine qui fera office de boss de ma compagnie mercenaire calquée sur la Ikary Company à Infinity : Bianca Chen, la reporter indépendante façon Elise Lucet qui a tendance à mettre au jour toutes les affaires pas très nettes de la Sphère Humaine ^^

Pour ma part, la pose de cette fig absolument sublime, nonobstant sa condition de civile HVT ("High Value Target" ou simple pion-objectif), était toute indiquée pour en faire - dans mon fluff perso - la nièce du Colonel Ikari, elle aussi à la tête d'une petite compagnie de mercenaires mais qui œuvre davantage en milieu urbain : le "Kombini Club" (vous en saurez plus sur cette compagnie plus tard ^^).

Ce n'est pas l'honorable Whispe qui s'est fadé le plus gros du boulot cette fois mais l'honorable Le Caillou, tenancier du blog STUDIO CAILLOU. Une fois encore, ce fut le résultat d'un ~~odieux chantage~~ échange de bons procédés : j'avais avisé la boite Defiant Truth à pas cher à la Waaagh! Taverne lors de mon dernier voyage à Paris. Laquelle boite comprenait cette fig mais également le nouveau Gui Feng Yu-Jing et une spec-ops Haqquislamite... Soit pile les deux factions dont s'occupe mon minéral Ami... oh ben ça alors, si par ma foi il n'y a pas moyen de moyenner, là...me dis-je tout de go ^^... Et ainsi fut dit, ainsi fut fait : le contrat fut passé : au Caillou les deux figs sus-mentionnées et à moi la peinture de Bianca Chen !! ^^

Regardons ensemble le résultat...

LA VERSION DU CAILLOU

Le schéma de peinture officiel de la fig était déjà très séduisant... Et j'avais juste demandé au Caillou de lui peindre les lunettes en jaune, parce que... Parce que j'avais envie. Mais c'est très particulier, le fonctionnement d'un Caillou... Parce qu'au final, il s'est grave excité sur le jaune... Jusqu'à en coller partout !! O_o' Notez que même si ça m'a surpris, le résultat est loin d'être moche (euphémisme) et depuis lors, nous avons surnommé cette fig "Miss Yellow" (comme dans Reservoir Dogs où les protagonistes ont tous des noms de couleurs... Heureusement que je n'ai pas parlé de rose moi ^^').

En fait, ce qu'il y a de bien avec Le Caillou, c'est que quand un pote lui demande un ouvrage de peinture, il a tendance a peindre comme si la fig était à lui : nous nous étions mis d'accord sur du tabletop + mais vous avouerez qu'on est bien au-delà dans le cas présent (je ne sais pas comment il fait pour peindre autant de figs avec une telle qualité... le salaud !! TT). Ce traitement du jaune est absolument parfait. Une fois encore, je m'étais réservé la réalisation du socle.

LA (NON-)VERSION DU TEMPLE

Cette fois, je dois avouer que je n'ai presque RIEN fait en ajout sur cette fig (paye ta leçon d'humilité !!) tant Le Caillou avit si bien bossé... Toutefois, la boss d'une compagnie de mercenaires, bien habillée et nonchalamment assise sur des caisses de munitions/armes/dossiers compromettants/paye des employés devait être fashion et élégante jusqu'au bout des ongles... Littéralement. Je lui ai donc posé du vernis à ongle rouge histoire d'assortir à son rouge à lèvres... Et c'est tout.

Sans déconner si j'étais allé plus loin, j'aurai davantage massacré le boulot du Caillou plus qu'autre chose. Je me suis donc arrêté là et j'ai passé Miss Yellow au vernis acryllique mat en bombe.

SOCLE

Pour le socle, je n'ai eu qu'à utiliser le dernier socle de la petite série que j'avais réalisée pour l'occasion.

PRÉSENTATION FINALE

Et voici donc "Miss Yellow", la boss de la compagnie mercenaire du "Kombini Club". Gravitant dans l'univers du mercenariat, très peu de personnes savent cependant qu'elle est la nièce du Colonel Ikari. Si son théâtre d'opérations est fondamentalement et quantitativement différent de celui de la Compagnie Ikari (elle ne fait que peu ou pas le mercenariat de la guerre), elle commence à se faire un nom qui fait trembler les responsables de grandes entreprises commerciales...

En effet, le secteur d'activité du Kombini Club se situe davantage dans l'espionnage industriel, le sabotage marketing, la facilitation (ou pas) des OPA boursières plus ou moins agressives, le cassage (ou l'organisation) de piquets de grèves, le recouvrement ou l'exécution forcé de contrats commerciaux... etc etc etc...

"Le fiasco de la nouvelle collection Néo-Chanel", "La descente aux enfers boursiers d'Intel-Outside", "Le scandale des glaces Yukidaruma", "La faillite de la chaine Pan0ceania Resort Hotel", "La grève sanglante des mines Yu-Jing Dig Corp."... Ces événements ont tous fait les gros titres de la presse mais peu nombreux parmi les conseils d'administration ou les consortium d'entreprises savent que le Kombini Club est derrière tout cela... Ainsi que leurs commanditaires... Il n'est pas de problème que Miss Yellow ne puisse résoudre pour le bien-être de votre entreprise...

PHOTO DE GROUPE

SOCIÉTÉ DURA LEX

- Conseil et représentation juridique (spécialisation en Droit commercial et des affaires) ;

- Recouvrement de créances (spécialisation en créances commerciales) ;

- Rédaction d'actes juridiques (contrats, protocoles transactionnels...) ;

- Veille juridique ;

- Gestion Immobilière ;

"Aliquis non debet esse judex in propria causa"

("Nul ne peut être juge dans sa propre cause")

Le Kombini Club

"Alid est celare, aliud tacere"

("Cacher est une chose, taire en est une autre")

Et voici enfin ma compagnie mercenaire, le "Kombini Club", dirigée par "Miss Yellow" prête à aller justifier ses honoraires absolument hors de prix ^^ Ce groupe de figs à un cachet dingue non ? ^^

Le "Kombini Club" ("KC") est une compagnie pratiquement inconnue dans le milieu du mercenariat... Et elle fait tout pour le rester. Sa célébrité, elle la cultive activement auprès d'un autre public.

Officiellement, le KC est la société "Dura Lex", une société privée Nippo-Pan0cénienne à caractère juridique dont le siège social est basée à Néo-Terra en Pan0céanie. Principalement spécialisée dans le droit commercial et des affaires, elle compte beaucoup de petites et moyennes entreprises parmi sa clientèle bien qu'une poignée de grands groupes recourent ponctuellement à ses services. A côté de ses activités de conseil et représentation juridiques, elle gère aussi une activité de recouvrement de créances (depuis l'amendement Mendoza, fruit du lobbiying combinée de la Nation Nomade et Haqquislamite, le recouvrement de créance judiciaire n'est plus un monopole réservé à des officiers publics et ministériels qui, dans les faits, n'avaient matériellement pas les moyens d'aller sur une autre planète pour faire exécuter les nombreuses décisions de justice inter-planétaires), principalement à caractère commercial.

Les comptes de la société sont régulièrement publiés dans les journaux officiels et en 10 ans d'existence, elle affiche une progression de son chiffre d'affaires d'en moyenne +4,8%. Les effectifs, outre sa directrice générale, Ikari Sachiko et son adjointe, Carla Ramos, compte environ une dizaine de collaborateurs. Fait suffisamment exceptionnel pour être souligné, la société Dura Lex dispose d'une flotte de deux petits vaisseaux inter-planétaires pour assurer ses activités de recouvrement de créances.

Tout cela n'est bien entendu qu'un écran de fumée pour masquer les véritables activités du Kombini Club.

Ikari Sachiko est la seule famille qui reste au terrible Colonel Ikari, bien que les parents de Sachiko (le propre frère du Colonel et son épouse) aient coupé les ponts avec celui qui a déshonoré la famille en devant le pire chef mercenaire de toute la Sphère Humaine. En cachette, Sachiko a toujours entretenu des contacts avec son oncle et ce dernier lui envoyait fréquemment (mais discrètement) des cadeaux pour son anniversaire, pour la nouvelle année... etc etc etc...

Sachiko rejoignit l'univers de son oncle très tôt, en une occasion qui devait la marquer à jamais. Les parents de sa meilleure amie, une pan0céanienne nommée Carla Ramos, tenait une petite supérette ouverte 24h/24 dans un quartier populaire de Néo-Tokyo... Mais les affaires ne marchaient pas fort et ils avaient contracté de nombreuses dettes qu'ils ne pouvaient que difficilement rembourser. Pire encore : l'un des créanciers avaient confié le recouvrement d'une dette à un gang local de yakuza (authentique : au Japon, les yakuza ont une activité traditionnelle de recouvrement de créances. Même les particuliers peuvent y avoir recours... en payant des frais bien supérieurs à ceux des huissiers de justice bien entendu... Avec des résultats plus rapides mais faut le vouloir !!) et la situation était devenue intenable pour les parents de Carla : bris de vitres, voiture incendiée, agressions physiques à deux reprises sur la personne du père...

Sachiko avait bien demandé à son oncle de "faire quelque chose" mais il avait toujours opposé un refus net et définitif : ce n'était pas son business. Jusqu'au jour où Sachiko fut sérieusement blessée. Alors que des yakuza étaient revenus intimider les parents de Carla à leur domicile, Sachiko était présente et voulu parlementer... Mais le Kyodai ("grand frère") qui menait les cinq Shatei ("petits frères") lui expédia un coup de poing en pleine mâchoire qui lui brisa deux dents. Le père de Carla fut proprement passé à tabac sous les yeux de sa famille et les yakuza quittèrent la maison en promettant qu'en l'absence du solde de la dette, toute la famille serait immergée dans la baie de Néo-Tokyo dans 8 jours.

Mais cela n'arriva jamais.

Quand Sachiko informa son oncle de ce qui s'était passé, ce dernier entra dans une colère noire. Et il n'est jamais très opportun de mettre en colère le colonel Ikari...

La police japonaise ne sut jamais comment les choses en arrivèrent là mais une chose est pourtant certaine : le Clan Yamada, une famille yakuza mineure de Néo-Tokyo fut anéantie en une seule nuit. Tous ses membres furent liquidés au siège du Clan ou bien chez eux (femmes et enfants compris) et le Oyabun ("chef de famille") fut retrouvé immergé dans la baie de Néo-Tokyo après avoir subi des sévices proprement épouvantables. Les Clans yakuza supérieurs furent cuisinés mais ils n'étaient pas à l'origine de ce nettoyage car ils avaient passé des accords de paix. Le dossier fut classé sans suite.

Aucun lien ne fut fait avec la mort du créancier des parents de Carla, victime d'un accident domestique d'une particulière violence : alors qu'il était en train de réparer sa tondeuse à gazon automatique, il semble que l'engin se soit mis en route à la suite d'un court-circuit et lui soit passé dessus.

Les parents de Carla ne furent plus jamais inquiétés. Sachiko reçu un unique message "Ne te mêle plus des affaires qui ne te regardent pas".

Le Temps passa. Avec son amie Carla, elles allèrent à l'université et en ressortirent couvertes de diplômes. Elles fondèrent Dura Lex, une petite société de conseil juridique en droit commercial et des affaires et après 2-3 ans d'existence, Sachiko fit une proposition à son oncle : une association.

Le monde des affaires est aussi impitoyable que les conflits armés et les intérêts financiers en jeu peuvent être également très importants. Une mauvaise campagne de publicité, un collaborateur en charge d'un projet important manquant à l'appel, des commandes impayées, une fuite d'informations industrielles de premier plan... Tout cela peut grandement fragiliser une structure et si cela venait à se savoir, ce serait le prélude à la mise à mort par la concurrence. Or, les entreprises préfèrent payer cher, très cher pour que cela n'arrive pas (ou plutôt que cela arrive aux autres).

Le premier "contrat" de ce type arriva lorsque le directeur commercial de Fashion Corp. ("Textile Pan0chic pour un Pan0style choc !") , un client habituel de Dura Lex, demanda franchement à Sachiko si elle ne connaissait pas "quelqu'un qui pourrait s'occuper d'un concurrent un peu trop menaçant commercialement". Il fallait juste s'assurer que la nouvelle collection "Printemps-Eté" ait simplement "un petit problème de rupture de stock"... En contrepartie, la rémunération de ce "petit travail" (versée sur un compte off-shore via un serveur fantôme de la Nation Nomade) comptait six chiffres.

Le deal était simple : Sachiko avait besoin de "personnel compétent en la matière" et le Colonel avait souvent des besoins ponctuels de "mettre au vert" certains de ses employés pour quelques temps surtout après des contrats qui les ont "particulièrement exposés". Du reste, les business respectifs ne se marchaient pas sur les pieds l'un l'autre et le partage de la paye n'était pas déplaisant. Le Colonel Ikari donna son accord pour ce ballon d'essai. Avec les contacts du Colonel, il fut très simple d'obtenir de faux passeports à un hacker Haqqislamite et à un gros bras Ariadnais qui ne mirent pas longtemps à arriver sur Néo-Terra.

Quand les deux agents prirent connaissance de la mission, ils n'en crurent pas leurs oreilles : après 3 semaines de bagarres intenses avec les troupes Yu-Jing pour le contrôle d'une mine de cobalt dans les Confins de l'Humanité, ils devaient juste incendier un simple entrepôt de fringues... Et ça, pour l'équivalent de 3 jours de boulot normal. Même l'adresse était fournie par le client !!

L'affaire fut pliée en quelques heures à peine : le hacker pirata sans peine les caméras de surveillance de l'entrepôt (et neutralisa au passage le dispositif anti-incendie) tandis que l'ariadnais prépara une mise en scène pour faire croire à un incendie par court-circuit. Quand les pompiers éteignirent enfin le brasier aux premières lueurs de l'aube le lendemain, les agents étaient déjà en train de claquer leur paie en alcool et en femmes d'affection négociable à l'autre bout de la planète. Fashion Corp. enregistra le plus beau démarrage de ses ventes de ses cinq dernières années et le concurrent malheureux subit un sérieux turn-over qui le mis hors-jeu pour le reste de la saison.

Depuis lors, Sachiko a su très bien faire fructifier son business parallèle et est désormais à même de proposer toutes sortes de "services" :

- Inonder les marchés de fausses informations pour faire chuter la cotation boursière d'une entreprise en faveur d'une autre ? Pas de problème.

- S'assurer que les livraisons de produits électro-ménagers du 3e fabricant de Néo-Terra soient en retard de 24h ? Ça se négocie.

- Un patron de boulangerie paie davantage ses voitures de sport plutôt que ses dettes ? On peut régler ça.

- Un piquet de grève paralyse la production du plus gros fabricant de produits laitiers de la ville ? On va prendre rendez-vous.

- Un important contrat de production de charcuterie industrielle doit être passé et les représentants des partenaires financiers doivent être assurés d'une sécurité absolue jusqu'à la signature ? Nous avons la solution.

Le nom de "Kombini Club" a en fait été choisi en référence à l'élément déclencheur à l'origine de ce partenariat familial improbable : la supérette que tenait les parents de Carla.

Sachiko et son oncle bossent désormais très bien ensemble : les agents de la Compagnie Ikari peuvent se refaire une santé durant quelques temps "sans perdre la main" et la clientèle de Sachiko ne cesse de s’agrandir au fil du temps en raison du très grand professionnalisme des employés dont Sachiko sait s'entourer... Et si d'aventure un contrat dépassait la sphère de compétence du KC, alors la Compagnie Ikari peut très certainement s'en charger. Toutes les tentatives de procès à l'encontre de Dura Lex se sont toujours soldées par des échecs : tous les employés sont "clean" et agissent sur justification d'une assermentation valable dans toute la Sphère Humaine.

On pourrait croire que le KC n'aurait pas dépassé Néo-Terra mais il n'en fut rien. Bien au contraire : Sachiko fit en sorte de développer la couverture officielle du recouvrement de créance inter-planétaire... Dans le but d'étendre les activité du KC :

- En Yu-Jing, ne pas payer ses dettes est déshonorant et l'Empire-Etat se fiche complètement qu'un chasseur de prime "au rabais" couturé de cicatrices aille réclamer une facture impayée à un quidam qui n'est pas capable de tenir ses comptes (et aucun lien n'est fait avec la destruction de la petite manufacture de porcelaine chinoise "Hu Wang" qui faisait de l'ombre à un consortium de vaisselle Haqqislamite).

- En Ariadna, tout le monde s'en fout de voir débarquer un agent assermenté de Dura Lex qui va réclamer 3 mois d'arriérés de loyer à un brasseur de bière artisanal (mais il est très troublant que la société Home+, enseigne d'ameublement phare de la Nation Nomade ait été au courant, par le biais de micro-caméras, que la société pan0céanienne "Greenw00d Scierie" ne respectait pas les règlementations d'abattage des arbres entrant dans la composition des parquets de luxe).

-Sur la planète Varuna, il est de notoriété publique que les tenanciers d'entreprises de bateaux de plaisance ne sont pas les derniers à traîner des pieds pour payer leurs taxes (cependant, le tournage de la troisième saison du programme de divertissement "Vis ma Cyber-vie de rêve", produit par "Dream Factory", de la nation Nomade, a dû être annulée en raison d'une infection alimentaire qui a fait des ravage parmi les acteurs et toute l'équipe de production. La huitième saison de l'émission "L'enfer des cuisines" produit et distribué par "You! TV" gérée par une alliance Pan0céanie/Haqqislam" enregistra son plus fort taux d'audience, récoltant +18% de parts de marchés durant trois mois consécutifs).

Mais le KC fait tout son possible pour que l'univers du mercenariat ne soit pas au courant... Tandis que ses activités sont évoqués en termes prudents dans les salons feutrés des conseils d'administration et des réunions annuelles d'actionnaires.

Le KC évolue dans d'autres sphères que sur les zones de conflits armés... Mais chaque jour, des sommes folles vont, viennent et s'échangent dans l'univers commercial... Et la guerre y fait tout autant rage.

Le récent conflit armé entre Yu-Jing et l'Empire Japonais n'a pas spécialement changé la donne mais a surtout été une source d'augmentation de la demande... Et des profits conséquents.

Un problème ? Il suffit de contacter "Miss Yellow" pour un rendez-vous d'affaire. En semaine à partir de 23h00 et le week-end en fonction des disponibilités. Discrétion assurée, action efficace, bénéfices en toutes circonstances...